2 - Cavalière seule (Luna)

Le jour se levait lentement sur le palais d'Aldron. Peu à peu, les serviteurs reprenaient leurs tâches et les fonctionnaires rejoignaient leur poste, prêts à faire fonctionner le coeur du gouvernement une journée de plus.
Luna fut réveillée par des coups discrets à la porte. Encore ensommeillée, elle perçut vaguement une voix étouffée qui lui annonçait le petit-déjeuner...

Entrez! déposait ça là.dit Luna en indiquant, au serviteur qui portait un lourd plateau chargé de victuailles, une petite table de chevet à côté du lit.
Luna mangea rapidement puis appela une servante pour lui préparer un bain, la coiffer, la maquiller...et enfin l'aider à enfiler son armure.
Elle fit ensuite venir un coursier du palais et le chargea de prévenir seigneur Kalvas qu'elle souhaitez sa présence au palais en début d'aprés-midi! Luna espérait qu'il aurait changé d'avis et qu'il aurait reconnu son erreur, la nuit portant conseil...
Mais ne s'attendant pas trop à le voir, Luna décida de faire venir un second coursier et lui ordonna de prévenir Mr Vendath qu'elle souhaiterez pouvoir discuter un petit moment avec lui si il y consentait. C'était certainement son dernier espoir d'obtenir une information. Mais qui pouvais être mieux placé que lui!

Le messager porteur de la lettre destinée à Kalvas revint rapidement de l'abbaye de Logan, proche de la caserne. Celui recherchant Vendath fut plus long, tout simplement parce que personne ne semblait le connaître à la bibliothèque. Il avait néanmoins fini par rencontrer fortuitement le magicien, qui lui avait rapidement remis une missive. Luna la déroula sans plus attendre :


"Salutations, très chère

J'espère que vous profitez bien de votre séjour dans notre magnifique palais d'Aldron. Les gens d'ici peuvent se montrer si rustres, j'en sais quelque chose. Je me serais volontiers déplacé en personne, mais si vous souhaitez m'entretenir de la même affaire que lors de notre précédente entrevue, je ne saurais que vous conseillez de me retrouver hors des murs du palais. Il y a trop d'oreilles indiscrètes en ce lieu pour palabrer d'un tel sujet librement. Je suis sincèrement navré de ces stratagèmes, mais il est plus prudent que nous nous retrouvions dans un lieu plus neutre. La terrasse à l'étage du Lion Rugissant, un club privé des beaux quartiers de cette ville, me semble indiquée, et le cadre est des plus plaisants. En espérant vous y retrouver cet après-midi même,

Cordialement, votre serviteur Vendath"

Il restait à Luna plusieurs heures avant son rendez-vous au Lion rugissant, elle ne voulait pas reproduire la même scène que le soir précédents et appela une servantes qui l'aida à préparer sa plus belle toilette, elle chargea un serviteur de lui préparer un palanquin et un autre de l'attendre à l'extérieur avec son cheval! (il suivrait le palanquin au cas où...) puis elle décida d'aller se promener autour des remparts en attendant l'heure du départ. Sa beauté était-telle qu'elle subjugué tous les passants. Aussi bien les autres nobles ,qui la salué en lui présentant leurs hommages de façon plus ou moins osé bien que jamais déplacé, que les paysans qui se jetaient à terre n'osant regarder une créature d'une si irréelle beauté de peur de la salir de leurs regards.
Contente de son effet Luna retourna à la porte du chateau et fit avancer le palanquin. Le cortège se mit en marche.

Un intendant dirigeait deux valets pour soulever le pesant palanquin, mode de déplacement qui n'était visiblement pas du goût des deux hommes, aussi robustes soient-ils. Plusieurs personnes s'arrêtèrent à la vue de ce spectacle : rares étaient les nobles à exiger de se déplacer de la sorte. Impossible de manquer les nombreux regards curieux que Luna s'attirait, curieux voire envieux pour certains autres nobles...

Alors que le palanquin s'apprêtait à quitter la place, un petit personnage, un enfant aux yeux des passants, qui jusque là observait silencieusement les évènements, prit son courage à deux mains...

Bolo, un jeune halflin, attendais à l'entrée du palais. Il semblais nerveux, avec un trait d'effarement. Il regardait avec emerveillement la beauté de cette être, dont il connaissait le nom...Luna.
N'ayant pas réussi à reunir le courage nécesaire pour lui adresser la parole lors de sa première avancée, Bolo se decida enfin et approcha doucement la guerrière.Son visage prenait un teinte aprochant maintenant le rouge virant au violet, et ses main tremblaient au point de ne pouvoir tenir aucun objets.
Après un petit moment d'hésitation, il finit par ouvrir la bouche et glisser quelques mots en balbutiant.

Bon-bonjours v-votre éxellence, je me permet d'interrompre vos nobles affaires, D'ailleur veuillez pardonner mon egoïsme, il est vrai qu'un pauvre ménestrel comme moi ne devrais pas pouvoir adresser la parole à si belle créature, mais je...je...j'osais espérer que vous aviez un peu de temps à me consacrer, même si je sais pertinnement que ce temps vous est au combien important, alors que j'aurais pu attendre pour vous deranger, et à ce propos milles excuses si j'interomps quelque chose d'important! Votre beauté m'étourdit, et j'en oublie l'important!Je m'excuse encore, j'ai l'impolitesse d'oublier de me présenter!Je me nomme bolo, et depuis plusieurs année, je parcours les villes en comptant les histoires que je connais pour le plaisir de la foule. Mais dès que je vous ai vu, votre magnificience, j'ai su que ma destinée, si vous l'acceptez, est de servir la plus belle des guerrière de ce monde! Je vous propose alors mes nobles services.

Luna agréablement surprise par ce petit être, autant par sa stature que par le contenu de ses paroles et l'effet qu'elle provoqué chez lui, ne put s'empecher de laisser échapper un rire cristallin mais où ne perçais aucun mépris. Elle posa son regard sur le halfelin: "Eh bien Mr Bolo, vous tombez à point nommé, je dois dans quelque instant retrouver un ami en ville. Si vous souhaitez réellement travailler pour moi vous pourrez me faire preuve de vos talents. Nous reparlerons du reste plus tard" Luna fit signe aux porteurs de se remettrent en marche. Puis elle prit une pomme bien rouge qu'elle lança à Bolo avant d'en prendre une seconde pour elle même dans la corbeille de fruit disposé sur le palanquin.

Bolo, don le sourir était si large que ses lèvre approchaient dangeureusement ses oreille, se mit a marcher( ou plutôt troter...)joyeusement aux coté de la belle noble.
Sur la route, le petit hobbit bavard ne pu s'empecher d'engager une conversation:

Permetez moi de deranger votre encas, mais vous m'avez proposer a l'instant de faire mes preuves...Je ne souhaite que ça ! Je me demande donc a quoi ma petit personne peu vous être utile !
De plus je tient a vous exprimer ma grande gratitude de me permettre d'être a vos services, c'est un grand honneur pour moi! Les hobbit ne sont pas un peuple très représentés, je suis fière de pouvoir leur faire honneur en vous cotoyant!Il faut dire que notre petite taille est plutôt un desavantage, les hommes, sans nous detester, ne considèrent pas les halfelins comme des être a part entière...Mais je ne vais pas me plaindre, je suis vraiment enchanter de pouvoir vous rendre service!
D'alleur, en plus de critiquer les hobbit pour leurs taille, j'ai même entendu des humain parler de moi en tant que trop bavard...je ne comprend vraiment pas!Me pensez vous trop bavard?

"Votre voix m'est agréable je ne vois donc pas pourquoi cela me gènerai cependant j'espère que vous arriverez à tenir votre langue en présence de la personne que je dois voir!
Quant à vos services, vous aurez le temps de me montrer de quoi vous etes capable en nous divertissant, tout à l'heure, au club."
Sur ce, le palanquin s'arreta et un des porteurs annonça que Luna était arrivé. Elle ordonna au serviteur tenant son cheval de le mener à l'écurie du club puis de retourner chercher un poney au chateau et de le mener ici. Il pourrait ensuite disposer.
Elle se dirigea alors vers l'entrée où un portier faisait le pied de grue, saluant les clients. "Et bien Mr Bolo qu'attendez vous pour me suivre?"

"Votre exellence, veuillez m'excuser de mon hésitation, voila 5 ans que je vie de mes récit, et avoir la chance de penetrer dans un club priver aux coté de la plus belle femme que la vie m'ai permis de voir m'étourdi légerement !"

Le hobbit, hésitant, mais au combien heureux, avança lentement à la suite de Luna. C'était une première foi pour lui que d'être inviter dans un club de ce type...Et il savais qu'il allait devoir prouver ses talents de représentétion devant des personne de haut rang...

Le Lion rugissant était un club cossu, fréquenté par certaines des personnes les plus influentes de la cité. Le hall était digne du palais d'Aldron, en plus intime. Des tapisseries à dominante rouge recouvraient les murs, éclairées par un imposant lustre suspendu au plafond. Des rires étouffés montaient des pièces voisines. Un huissier, véritable colosse au crâne rasé, se tenait les bras croisés à proximité de l'entrée. Il s'inclina devant Luna et Bolo alors qu'ils entraient, avant de s'adresser à la jeune femme d'une voix grave et calme :

- Soyez la bienvenue au Lion rugissant, ma Dame. Puis-je vous demander au nom de qui êtes-vous ici ? Pardonnez cette question, mais ce club est privé et seuls les habitués et leurs invités peuvent y pénétrer.

La face du malabar s'illumina d'un sourire de compréhension.

- Bien sûr, sire Vendath en terrasse. Si vous voulez bien descendre l'escalier qui se situe derrière moi... sur ces paroles il se décala d'un pas, révélant un escalier en colimaçon, éclairé par des torches et descendant dans les profondeurs. Le colosse s'inclina à nouveau, un sourire figé sur sa face. Sire Vendath répondra à toutes les questions que vous pouvez vous poser. Passez un agréable moment au lion rugissant, ma Dame.

"merci à vous, faites nous descendre deux jus de pommes d'ici 5 minutes." Luna ne comprenait pas où voulait la mener Vendath, mais elle n'avait pas le choix. Si les rafraichissements ne venaient pas elle comprendrait que Vendath avait demandé à ne pas être derangé.
Elle s'adressa à Bolo discrètement: "Nous aurons peut-être besoin tous les deux d'autres choses que de divertissements si nous descendons, cependant je n'ai pas le choix bien que vous rien ne vous force à m'accompagner, mais si vous décidez de me suivre je pense que je pourrai vous en être reconnaissante longtemps. Ainsi ne finirez-vous pendu par les pieds à un chêne et la langue coupé comme mon dernier barde qui s'en allait chanter de vague histoire de démon...un hérétique qui méritait son sort..." Elle partit alors d'un de ses rires cristallins qui lui donnait un certain charme qu'elle avait du voler à la déesse de la beauté Elki en personne.

Alors que Luna et Bolo descendaient l'escalier, l'ambiance des lieux changeait radicalement. Du hall, on pouvait entendre des discussions animées et des rires joyeux, mais les souterrains semblaient considérablement plus austères. De même, la décoration passait progressivement du luxe ostentatoire à un environnement des plus dépouillés.

Ils arrivèrent rapidement à une sorte d'antichambre, se finissant par une double porte ornée de décorations et d'inscriptions pour le moins inquiétantes : la fréquence alarmante de symboles macabres devait y être pour quelque chose. Deux hommes, vêtus de tenues noires et au visage couvert par des voiles, se tenaient de chaque côté de la porte, les bras repliés sur le corps. Ils s'inclinèrent d'un même geste à l'arrivée du duo disparate avant de parler d'une voix étouffée :

- L'obscurité pour les affaires obscures, telle est la volonté du Maître de tous les Secrets Cachés. Qui se présente à la Cour du secret ?

"Quelqu'un de trés important, prévenez Vendath que je suis arrivé et que je patientes..." Luna essayait de distinguer un son, de reperer un indice ou quelque chose qui pourrait lui laisser penser que rebrousser chemin était nécessaire...Rien ici ne lui plaisait, elle n'aimait pas être manipulé et avait l'impression de n'être qu'une marionette dont Vendath disposait à sa guise. Elle essayait de démasquer ces deux gardiens qui l'avait questionné mais les voiles entourant leurs visages étaient impénétrables...avaient-ils seulement un visage...

L'un des deux hommes masqués s'inclina à nouveau, les bras toujours croisés sur la poitrine, tandis que l'autre ouvrait sans effort apparent les lourdes portes ornées. Luna et Bolo purent découvrir une vaste salle, faiblement éclairée par une poignée de torches crachotantes. Le plafond était si haut que la faible lumière des torches peinait à l'éclairer, révélant une fresque particulièrement détériorée. Les lieux étaient d'une rare austérité, le monde semblant s'être réduit à des nuances de gris et de noir.
Le portier se dirigea d'un pas raide vers l'un des nombreux rideaux noirs qui devaient masquer des alcôves sur les flancs de la pièce. Il l'écarta légèrement et murmura quelque chose à une personne à l'intérieur. L'échange ne dura que quelques secondes, après quoi le portier se retourna vers Luna, s'inclina de nouveau avant de reprendre la parole :

- Le Seigneur Vendath est prêt à vous recevoir. L'Estropié veille sur vos secrets.

Alors que l'étrange portier retournait à son poste, les deux visiteurs ne purent s'empêcher de se demander comment il pouvait y voir dans une telle obscurité, avec son voile. Ils ne se sentaient pas à l'aise dans cet endroit... en plus d'être sombre et inquiétant, il y flottait une étrange odeur, douce et en même temps écoeurante.
Des chuchotements montaient de certaines loges voisines, mais celle en face d'eux restait silencieuse. Vendath les attendait à présent...

Luna s'était avancé en compagnie de Bolo jusqu'à la loge, puis lui demanda de l'attendre à l'extérieur le temps de l'entretien puis elle rejoint Vendath à l'intérieur. "Je vous salue seigneur Vendath, je suis honoré de votre invitation, bien que ce lieu me paraît austère et dangereux...avant tout j'amerai éclaircir un point, Qui est l'Estropié dont a parlé le garde à l'entrée?"

L'alcôve était confortablement aménagée, bien que tout aussi austère que la grande salle. Une banquette matelassée circulaire longeait le mur, entourant un table basse. Cette petite pièce évoquait davantage le fond d'un puits qu'un salon privé...

Vendath était tranquillement installé, une coupe à la main. Il se leva à l'entrée de Luna pour la gratifier d'une ample révérence.

- Soyez la bienvenue, très chère. J'espère que la froideur de ces lieux ne vous dérange pas outre mesure. Cette ancienne crypte a bien des avantages en termes de discrétion et de tranquilité, mais elle n'est guère adaptée à nous autres, vivants. Il n'est guère utile de rentrer dans les détails sur l'Estropié, à moins que vous ne vous intéressiez à la théologie. C'est une ancienne divinité du savoir et du secret, oubliée du commun des mortels.
J'espère que votre entrevue avec notre ami Kalvas a été riche d'enseignements, même si votre venue me laisse supposer que vous n'êtes pas entièrement satisfaite. Y aurait-il eu un problème ?

Eh bien pour ainsi dire, le problème était de taille, installé dans une armure et dans des certitudes inspirées de nature divines qui dépassent l'entendement...au moins je peux le nommer puisqu'il s'appel Kalvas. Pour faire simple je n'ai rien appris de plus que lors de notre dernière rencontre. Je viens donc en espérant que vous puissiez m'orienter... Luna paraissait à la fois sérieuse et désinvolte, de plus Vendath avait le plus grand mal à ce concentrer sur autre chose que ses atouts et il semblait complètement absorbé dans la contemplation fascinée de cette sublime créature...

- Quel dommage que vous n'ayez pu vous entendre avec notre cher paladin... il est vrai qu'il peut se montrer si obtu, et j'imagine que vous n'avez guère l'habitude de cotoyer de tels divins inspirés. Je persiste à penser qu'il pourrait être votre meilleure piste dans vos recherches. A ma connaissance, sa propre quête va le mener à une entité que vous auriez pu trouver très intéressante, bien qu'indéniablement mortellement dangereuse.
Mais si les choses ont tourné ainsi, je pense pouvoir vous renseigner un peu plus sur le sujet qui vous intéresse. A la première écoute de votre histoire, j'avais pensé que vous recherchiez un baatezu, l'élaboration de contrats étant leur spécialité. Mais j'y ai réfléchi plus en profondeur, et je pense que vous avez affaire à rien de moins qu'un tanar'ri, un démon au sens véritable du terme. En un sens, c'est une chance pour vous, car les tanar'ris ne sont pas réputés pour leur discrétion. Et d'un autre côté, ça vous place en très mauvaise posture, car ils sont réputés pour leur brutalité et ont une conception très primitive de la négociation.
Si vous êtes déterminée à aller jusqu'au bout, je pense savoir comment vous pourriez entrer en contact avec un tanar'ri, et ce dans un délai relativement bref. Mais vous êtes pratiquement certaine d'y subir un sort pire que la mort.

A mesure qu'il parlait de ces sujets peu recommandables, le regard de Vendath s'illuminait d'une lueur plutôt inquiétante, une lueur hésitant aux frontières de la folie... cet homme avait-il vraiment toute sa raison ?

"Je supose qu'approcher le mal n'est jamais dénué de conséquences, mais je supose que vous devez connaître un moyen de d'y parvenir, de plus je ne souhaites pas tuer ce démon...du moins si je n'y suis pas obligé...si mes ancêtres sont parvenus à établir avec lui un pacte je supose qu'une rencontre est réalisable..." Luna espérait beaucoup de Vendath mais au fur et à mesure elle se surprenait à se méfier intérieurement de lui...qui était-il vraiment?!

Bolo, étant de nature hobbit curieux, était certe a l'exterieur de l'alcove, mais ne ratait pas un mot de ce qui était dit...Il s'employait a comprendre le sens de chaque phrases dites, et comprenais à preésent le but de cette rencontre.
Dans son grand désir d'aider Luna, il tanta donc de decouvrir si l'homme présent avec Luna à ce moment était digne de sa confiance...

HRP: test de psychologie, Pressentiments :

Nombre aléatoire (7,26) :

8

Bolo ne percevait les voix en provenance de l'alcôve que faiblement, et il arrivait tout juste à comprendre ce que se disait. Impossible dans ces conditions de se faire une idée d'une personne à sa seule voix affaiblie...
Alors qu'il tentait d'entendre ce qui se disait, Bolo perçut du mouvement derrière lui. Se retournant, il vit l'un des sinistres portiers émerger d'une autre alcôve, en portant sur son dos une femme vêtue de façon plutôt vulgaire, outrageusement maquillée, au teint très pâle et visiblement inconsciente. Il n'eu pas le temps de voir si d'autres personnes se trouvaient dans la loge, d'autant plus qu'elle semblait plongée dans les ténèbres. Le portier se dirigea avec son fardeau vers une sortie discrète dans un recoin de la salle. Bolo fut parcouru d'un frisson en assistant à cette scène : il avait un très mauvais pressentiment à propos de tout ça...