3 - Enquête de voisinage (Cobben)

Après un voyage rapide dans la campagne aldronienne, le disciple de Logan Cobben et son escorte étaient parvenus au domaine rural des Bardentel, la belle-famille de Feoric DeThane : un manoir de campagne, sis au milieu d'un jardin soigneusement entretenu délimité par un mur d'enceinte, et les habitations de leurs gens formant un véritable petit village. A la lumière de midi, l'endroit prenait un air des plus accueillants, bordé par un paisible cours d'eau et entouré de verdure.

Le sergent assigné à l'escorte retira son casque et s'épongea le front, émettant un sifflement de satisfaction à cette vue :

- Par Logan, je viendrais bien me retirer dans un coin comme ça pour mes vieux jours ! Si l'accueil est à la hauteur de ça, ça valait le coup de se taper le trajet jusqu'ici !

Cob regarda le garde est ajouta a son boneur : "-Hummmm.... Personellement, si c'est personne sont de main avec des fielons je me méfiré, et je passeré encor moin mes vieu jour ici."

Puis, il s'aprocha du portail d'entré et attendant que quelqu'un veille bien lui ouvrir ( D'aprés Cob, si ils ouvre c'est que déja sa part sur de bonne intention, sinon.... l'épée sera de rigeur).

Deux serviteurs ouvrirent la barrière à l'approche du groupe de cavaliers. Avant même qu'ils n'aient pu descendre de leurs montures, un homme assez âgé, paré d'atours royaux et escorté de deux gardes, se dirigeait vers eux avec un grand sourire sur le visage.



- Soyez les bienvenus dans mon domaine, messieurs. Je suis le baron Cormagan Bardentel, seigneur de ces terres. Il est si rare que des visiteurs de la cité se donnent la peine de nous rendre visite.

Cob, d'abors l'air suspicieux reprit un air amicale est enchaina : "- Je me présente: Cob Cobben, prétre de Logan envoyer par l'inquisiteur Kalvas. Je voudrez vous poussez quelque question du moin indiscréte, pouvons nous nous métre quelque part ou nous risquions pas de nous déranger?"

- Mais bien entendu, mon cher. Laissez donc mes valets s'occuper de vos montures. Le baron fit un geste négligeant de la main en direction de plusieurs serviteurs, qui s'empressèrent autour des chevaux. Peut-être souhaitez-vous vous restaurer après votre trajet ? proposa-t-il, notant la lueur d'espoir dans le regard des soldats. Il est incommode de discuter le ventre vide et la gorge sèche.

Cob regarda l'air d'espoir dans les yeux des soldats, mais ne voulant pas courir de risque ajouta : " Je ne refuse jamais normalement un t'el présent, mais je me doit de refuser, nous somme la pour affaire, et je suis de nature présser a fair les choses bien ."

- A votre guise, prêtre. Dans ce cas, passons dans mon bureau pour discuter de ce qui vous amène. Je pense que votre escorte ne verra pas d'inconvénients à vous attendre ici. Le baron se retourna vers le manoir en faisant signe à Cobben de le suivre, toujours flanqué de ses deux protecteurs.

"- Ne men voulez pas mais je préféreré qu'ils nous acompagne, tout se que je vais vous dirt doit rester dans le domaines du légales." Cob devez trouver une excuse valable.... maleureusement il ne trouva que sa. " Enfin pour mes supérieur sa doit l'étre..."En disant sa sur un thon assuré. Il demanda a deux de c'est garde de l'accompagné, et aux autres de rester là, pour gardé les monture.