2bis - Du côté de chez Logan (Ligoric, Cobben)

Du côté de Ligoric, il se réveilla au moment du déjeuner, il passa une longue nuit de sommeil dû à sa fatigue d'avoir fait des recherche assez tard et de son combat au milieu de la nuit. Après son déjeuner, il paya l'aubergiste et parti à la rencontre de Kalvas pour avoir ses informations pour atteindre son objectif...







Combien pour une bonne auberge?? (le prix)

Je préviens tout de suite : pour les détails techniques du genre prix d'une auberge, vous allez sur http://www.regles-donjons-dragons.com/ et RTFM (Read The Fucking Manual, Lisez le putain de manuel pour les anglophobes). Pas la peine de faire des posts entièrement HRP pour répondre à ça.

Alain, j'ai séparé ton post du topic Cavalière seule. Vos PJs sont en des lieux différents et absolument pas partis pour se retrouver dans de brefs délais, donc je préfère que vous postiez dans des topics séparés.

Kalvas lui avait dit la veille de le retrouver à la caserne ou à l'abbaye de Logan, mais les deux bâtiments étaient de toute façon très proches. Ligoric prit donc la direction de la caserne, un lieu qu'il connaissait bien depuis son service dans la garde. Sur place, un planton le conduisit au bureau du capitaine de la garde, Edirel Kramer, lorsqu'il demanda l'inquisiteur Kalvas. Les autorités prenaient visiblement l'affaire qui avait mené le chevalier ici très au sérieux...

Bonjour, je cherche un certain Kalvas et il ma dit qu'il serait là!!
Es-ce que Kalvas à fait quelque chose de mal pour que vous prennez ma vanu très au sérieux??? Je connais très bien cette endroit, j'ai été soldat du rois pendant 2 ans,....

Heu, on s'est mal compris : ils ne prennent pas TA venue très au sérieux, mais celle de Kalvas, vu qu'il est reçu par le capitaine de la garde... et il n'y a pas de roi à Aldron
Sinon ce serait bien que tu penses à colorer et mettre en italique les paroles, comme d'habitude.

Ligoric n'avait jamais mis les pieds dans le bureau du capitaine de la garde d'Aldron, et le moins qu'on puisse dire c'est que cette pièce n'avait pas grand-chose en commun avec l'antre du sergent Karsya. Le bureau était spacieux et confortable, comme il seyait à un officier de ce rang : large de dix mètres et long du double, il était éclairé par de nombreuses fenêtres des deux côtés de la pièce. Une immense table trônait au milieu de la pièce, entourée d'une quinzaine de fauteuils, indiquant que l'endroit devait également servir de salle de réunion.
Pour l'instant, seules deux personnes occupaient la vaste pièce : l'inquisiteur Kalvas et le capitaine Edirel Kramer, commandant de la garde de la cité. Pour autant que Ligoric s'en souvienne, cet homme avait lentement gravi tous les échelons de l'armée, avant d'être nommé à ce poste par le précédent gouverneur. Le vétéran leva la tête, surpris, lorsque le rôdeur fit irruption dans la pièce, puis il échangea un bref regard avec Kalvas avant de s'adresser au nouvel arrivant :

- Vous devez être le chasseur de primes Ligoric. Nous ne vous attendions pas si tôt, mais puisque vous êtes là, prenez donc place, dit-il en désignant un fauteuil voisin. Vous attendiez quelqu'un d'autre, Kalvas ?

L'inquisiteur leva les yeux des documents dans lesquels il était il était plongé.
- L'abbaye de Logan doit nous envoyer un représentant. Il ne devrait plus tarder maintenant. Il y a également cette femme qui était hier à la taverne, mais je ne pense pas qu'elle viendra. J'espère que les informations que pourra nous fournir Ligoric seront suffisantes. Se tournant vers Ligoric : Votre intervention d'hier soir fut providentielle, mais avant tout autre chose, il me faut savoir comment vous avez été mis au courant de ma présence. Je ne sens aucun mal chez vous, mais vous ne pouvez avoir eu de tels renseignements que par le biais de nos ennemis... je vous prie donc de me dire tout ce que savez, et ensuite nous pourrons discuter de votre problème, car je pense que nous avons le même objectif.

Cob Cobben arriva à Aldron, il alla directement à la caserne où on lui avait indiqué d'aller auparavant. A l'entrée il donna comme explication qu'il avait été envoyé pour aider Kalvas et cela n'avait pas l'air de poser de problèmes.
Après être rentré dans le bureau, il vit trois hommes, plutot étonné il se contenta de penser à sa mission:
"- Bonjour à vous ! Je me nomme Cob Cobben et je suis envoyé sous l'ordre d'Izmar pour rencontrer et aider Kalvas". Dit-il tout en regardant et dévisageant le reste des personnes se trouvant dans la pièce.

Le capitaine Kramer leva les yeux au ciel.

- Le monde semble décidé à aller droit au but aujourd'hui. Soyez le bienvenu, frère Cobben. Très bien messieurs, nous allons donc pouvoir aborder ce qui nous réuni ici. Inquisiteur, si vous voulez bien commencer...

Kalvas prit une longue inspiration avant d'entamer son récit. Il était étrange de le voir sans son casque. Son visage restait étrangement neutre, comme figé dans une sorte d'indifférence vigilante.

- Comme vous le savez désormais, je suis l'inquisiteur Vadashtal Kalvas de l'Ordre Fléombre. Si je suis ici à l'heure actuelle, c'est que notre ordre a eu vent des agissements d'une créature d'outre-plan dans cette ville même. Malgré sa nature brutale, cette abomination a su passer inaperçue jusqu'à maintenant. Il semble que si elle n'est jamais apparue sous son véritable jour, elle a par contre poussé plusieurs individus à des exactions sans nom. J'ai suivi la piste de plusieurs d'entre eux, mais je suis à chaque fois arrivé trop tard, que ce soit pour sauver leurs âmes ou leurs victimes...
Récemment, nous avons eu vent d'un homme qui se serait soudainement mis à agir d'une façon violente et destructrice, alors qu'il avait été jusque là un loyal serviteur de sa cité. Il est tentant de mettre ses agissements sur le compte de la folie, mais je crains qu'un pouvoir plus sinistre ne soit à l'oeuvre. Je crois que vous connaissez cet homme, Ligoric. Son nom est Feoric DeThane. Il semble que nous cherchions à trouver le même homme, mais pas pour les mêmes raisons. Je sais tout ce que cet homme a fait, votre désir de vengeance est bien compréhensible et je peux vous assurer qu'il n'échappera pas à la justice. Mais il faut qu'il nous révèle ce qu'il sait de l'être qui le manipule, sans quoi il continuera à semer la mort et la destruction tout en menant des âmes innocentes à la corruption. Je fais appel à vous car vous êtes à mon avis le plus apte à le retrouver. Cet homme a certes semé un grand mal, mais un mal plus grand encore se répandra si Feoric DeThane ne parle pas. J'espère pouvoir compter sur votre discernement, Ligoric. J'imagine que vous n'avez pas l'intention d'épargner ce meurtrier, mais pensez à tous ceux qui pourront être épargnés si le savoir de DeThane nous permet de stopper le monstre...

"- Très bien, il sera fait selon vos ordres, inquisiteur Kalvas!" Dit Cob toujours aussi direct que pragmatique.
"- Avez-vous déja une piste quelconque? L'endroit ou il a été aperçu pour la dernière fois ? Quelque indice ? Pour que moi, et cet homme (en regardant joyeusement Ligoric) nous puissions retrouver ce Feoric DeThane." en s'aprochant de Ligoric d'un air rassurant et en lui levant la main comme pour dire bonjour.

Pour répondre a votre question Kalvas, c'ets un informateur qui sait tous ce qui ce trane en ville qui ma dit que je pourrais vous trouvé à cette taverne. Et c'est lui aussi qui ma dit que vous seriez des chose sur Feoric. J'accepte de vous aidez et faire en sorte qui parle et ne le turai point. J'accepte sa, pour la simple raison que jene veux pas ce qui mes arrivé arrive au autre. Dites moi tous ce que vous savez sur lui et je vous le ramène vivant le plus tot possible, je le jure sur mon âme...
Ligoric tourna la tête vers Cob Cobben.
Je n'ai pas le plaisir de vous connaître,moi la seul chose que vous devez savoir sur moi c'est que je m'appelle Ligoric et je tien toujour mes promesses. Pour cherché vous Feoric???

Kalvas montra son approbation d'un hochement de tête en entendant la réponse de Ligoric :

- Vous faites le bon choix, chasseur. Nous avons certes besoin de lui, mais il n'échappera pas à la justice.

Nous savons malheureusement peu de choses des activités de DeThane depuis sa disgrâce. Il est peu probable qu'il se cache en ville, mais la campagne alentours et les égoûts offrent d'innombrables cachettes. Je vous suggère de commencer par cet indicateur que vous avez mentionné, il pourrait nous permettre de remonter jusqu'à notre homme. Pour ma part, je vais ré-examiner l'enquête officielle et interroger ses connaissances, au cas où les enquêteurs auraient laissé passer quelque chose.

Je ne saurais que vous conseiller la plus grande prudence, messieurs. Cet homme n'aurait jamais dû être au courant de ma présence, et j'ignore comment il a pu avoir un tel renseignement. Les seules personnes au courant de ma venue étaient d'autres membres de mon ordre, le capitaine Kramer ici présent et le chapelain Izmar. Je crains qu'une quelconque sorcellerie ne se cache derrière tout ça... je ne pense pas que cet informateur soit réellement dangereux, mais ne prenez pas de risques inutiles.

Cob retira sa main et se redressa fièrement, puis dans un élan de spontanéité, se tourna vers Kalvas et ajouta: " Pour prouver ma valeur a mon dieu tout-puissant je promet de traquer et de pourfendre cette ennemi qui est le votre ! Inquisiteur Kalvas ! Je m'y met sur le champ, et si (en se tournant vers Ligoric et en jetant un regard amer à cet homme déja si froid) le coeur de cette homme n'est pas noir comme l'ombre qui me suis, voulez bien m'aider ? Vos talents de pisteur peuvent être d'une aide très préçieuse..." En ajouta en dernier regard déterminé à Kalvas.

- J'accepte votre proposition, en tournant la tête vers Cob.

Ligoric tourna la tête en direction de Kalvas :
- Je pense commencer par mon informateur et Kalvas, ne t'inquiète pas je me méfie de lui. Je reviendrais demain pour faire un rapport de tout ce que j'ai appris pour pouvoir enquêter ensemble sur les lieux possibles de la cachette de DeThane.

Ligoric parti du luxueux bureau comme si de rien n'était et prit son cheval jusqu'a son informateur. Mais avant de partir il donne rendez-vous a Cob à l'auberge ou il a passé la nuit d'avant.
Ligoric arriva devant la porte de son informateur et descendit de son cheval.
Il frappe à la porte tout en disant,
- Ouvre, c'est moi Ligoric...

D'un air frustré Cob ajouta: "- Je voix, les chausseurs de prîmes on l'air de vouloir fair les choses tout seul... Enfin, j'éspér que je serviré bien a quelque chose?" En regardant en la direction de Kalvas d'un air rieur.

Kalvas fut sidéré par la réponse laconique et le ton désinvolte de Ligoric, et le capitaine Kramer n'avait pas l'air moins estomaqué.

- Vouloir faire les choses tout seul... commenta le capitaine après le départ de Ligoric. Ce n'est plus de l'individualisme, c'est au-delà...

- Peut-être que la mort de sa femme l'a affecté plus qu'il ne semble au premier abord... dit Kalvas d'un air songeur. Il faudra garder un oeil sur lui, il paraît quelque peu instable. Et je vous prie de garder votre sérieux, novice Cobben, prenant un air sévère devant l'expression du prêtre. Nous n'avons vraiment pas le loisir de nous amuser de la situation.
Puisque notre rôdeur, qui est également notre meilleur moyen de remonter la piste de DeThane, semble dédaigner notre assisstance, nous allons devoir procéder d'une autre manière.

- Je ne suis pas sûr que repasser l'enquête officielle au crible vous soit très utile, Kalvas. Je peux charger mes investigateurs de ça.

- Probablement, capitaine. Mais j'aurais aimé vérifié certains détails, surtout en ce qui concerne son entourage. Si vous l'acceptez, novice Cobben, j'aimerais que vous vous rendiez dans le domaine de la belle-famille de DeThane, les Bardentel. Il est possible que la corruption vienne de là, mais dans ce cas vos aptitudes devraient vous permettre de la démasquer... et d'y remédier.

D'un ton d'assurance il reprit: "-Desoler de cette inscident, mais depuis sque je suis arrivé ici, il ny a même pas qu'elleque heures, je me suis apercue de la bizarerie des choses. J'ai rarement perdue ma fois, et je vous demande mon pardon." En reprennant un position de force, il reprit: " Je pense pouvoir fair cela, je me renseigneré sur se "Ligoric", cela ne me dérange pas, je me rendrez au a son domaines, vous savez ou je pourré le trouvez?"

- Les Bardentel ont un petit manoir à quelques heures de marche de la ville, je vous confierais une escorte si vous comptez vous y rendre. Mais vu que leur réputation a été considérablement entachée par cette affaire, ils ne vous acceuilleront pas à bras ouverts, sachez-le.

- Faites preuve de diplomatie, novice Cobben, mais restez fidèle à vos principes. Votre droiture et votre foi seront vos meilleures alliées au cours de cette mission. Revenez dès que possible, il n'y a pas de temps à perdre.
Pour ma part, je vais m'entretenir avec certaines personnalités "sensibles" d'Aldron, j'ai une théorie que je voudrais vérifier.

Le capitaine Kramer regarda l'inquisiteur d'un air interrogateur.
- Le temps n'est pas vraiment aux théories, inquisiteur. A quoi pensez-vous ?

Kalvas réfléchit quelques instants avant de répondre.
- Mon Ordre soupçonne depuis quelques temps un culte dévoué à la recherche occulte de s'être installé dans la région, et je me demande si ça n'aurait pas un lien avec notre affaire, d'une manière ou d'une autre. J'espère que ce n'est pas le cas, mais ça mérite d'être vérifié. Il faut également que je procède à l'interrogatoire des survivants de l'attaque au Cabillaud.
Quoi qu'il en soit, novice Cobben, je vous souhaite bonne chance. Si les Bardentel sont liés aux agissements de Feoric DeThane, ils pourraient se révéler dangereux.

Coben rétorqua comme une furie: "- Quoi qu'il arrivent, je les ferait parlé, ne vous inquiéter pas Kalvas! Logan ne doit pas étre déçue de moi! Je les promie!" Il reprit son air habituel pris reprit calmement : " Je veu dirt.... je ferait preuve de diplomatie quoi qu'il arrivent, ne vous inquiétter pas, vous pouvez conter sur moi." Il se retira en fesant signe de la main plutot géne en voyant comment Kalvas le regarda, et se mis en direction de cette maison qu'il lui avait parlé auparavent.

A la façon dont l'inquisiteur le regardait, Cobben devinait qu'il n'appréciait pas du tout ses coups de sang intempestifs. Se mettre en route sans tarder était sans doute une excellente idée...

Quelques heures plus tard, Cobben était en route pour le domaine des Bardentel avec cinq membres de la garde. Ils y seraient normalement en milieu de journée, d'après le pisteur qui leur avait indiqué le chemin. Cette famille n'avait probablement rien à se reprocher dans cette affaire. Probablement... la possibilité pour qu'il en aille autrement était faible, mais non négligeable. C'était la raison d'être de l'escorte : si les Bardentel s'étaient acoquinés avec des fiélons, ils ne reculeraient devant rien pour se défendre...

Ca continue par là